Au sommaire de notre édition de juin

A la Une: Quand le big data se transforme en potion magique

S’il est tentant d’accumuler et d’analyser des montagnes de données, on ne sait rarement au début d’un projet de big data sur quoi il va déboucher au final. Il n’est pas étonnant dès lors que les pionniers du domaine appellent les managers accros aux chiffres à prendre des risques. Ce qui n’exclut pas un travail de clarification préalable.

L'interview d'Aimé Achard, directeur général de la Banque Cantonale Vaudoise en charge des services: «Pour des motifs économiques et stratégiques, le rapatriement coulait de source» 

En décembre 2012, la Banque Cantonale Vaudoise a rapatrié à l’interne le développement et la maintenance de sa plateforme bancaire, jadis confiés à IBM. En entretien avec notre rédaction, Aimé Achard, Directeur général de l’établissement en charge des services, revient sur cette décision et sur la stratégie IT de la BCV.

Egalement au sommaire:

• Développement: Les développeurs ne passent qu’un tiers de leur temps à créer du code. A l’instar d’autres métiers, les développeurs ne consacrent qu’une partie de leur temps à leur activité principale, à savoir écrire du code. Leur productivité souffre notamment d’interruptions continuelles, ainsi que des heures passées à résoudre des problèmes et à faire du reporting.
• Gestion des risques: L’IT, principal facteur de risque lors de catastrophes naturelles. La menace des catastrophes naturelles porterait en premier lieu sur l’IT selon une enquête de Zurich Insurance Group. Les stratégies pour diminuer ces risques s’axent autant sur le hardware que sur les ressources humaine. 
• Innovation: De la reconnaissance vocale à la retranscription automatique de vidéos. Depuis le lancement de Siri sur iOS, les technologies de reconnaissance vocale sont de plus en plus utilisées. Du simple assistant personnel sur les appareils mobiles jusqu'à l'auto-transcription de vidéos, plongée dans un marché qui attire de plus en plus d'acteurs.
• Dossier Social Enterprise: Collaboration extrême. La collaboration au sein des départements et entre les métiers est un élément indispensable à la performance des organisations. Elle est cependant rarement considérée comme un objet à part entière justifiant des outils spécifiques.